L'ENLEVEMENT PARENTAL

Bonjour! Ce blog est mis en place, certes pour témoigner de mon inquiétude par rapport à mon fils enlevé par sa mère le 30 juin 2007, mais aussi et surtout pour aider les personnes rencontrant les mêmes difficultés.
Quel que soit votre statut : que vous soyez père, mère, grand parents, parrain, marraine, du moment que vous pouvez appartenir à cette catégorie des "ayants-droits" ne désespérez pas.
La justice est parfois lente, vous rencontrerez des personnes parfois mal formées ou mal informées, vous penserez que l'on entrave vos démarches, vous désespérerez peu être....
Vous serez peu être amené à faire valoir l'article 15-3 du code de procédure pénale: N'hésitez pas! Refusez les mains courantes! c'est vous les citoyens, c'est vous qui désirez porter plainte et c'est au procureur de la république de trancher pas aux gendarmes ou aux policiers.Ne laissez pas tomber!
Un jour les procureurs comprendront l'urgence de ces situations.
C’est de l'enfant qu'il s'agit, de sa stabilité psychologique, de son estime de soi, de son avenir affectif et comportemental à court, moyen et long terme.Plus vous serez nombreux à faire valoir vos droits plus ce phénomène en expansion dans les comportements sera connu et traité avec célérité et sévérité.
Il ne s'agit pas d'entretenir un conflit mais de régulariser et d'organiser des relations mal vécues pour des raisons qui peuvent être multiples.Si l'on enquête également sur vous comprenez que c'est aussi pour protéger cet enfant qui vous manque et je ne pense pas avoir besoin d'exposer ici les raisons sordides qui amènent parfois la justice, et à juste titre, à suspendre ou organiser sous contrôle les relations d'un enfant avec l'un des membres de sa famille.Si vous aimez sincèrement cet enfant vous comprendrez ce besoin de protection car c'est votre but premier.
Si vous choisissez de le faire ou si l’on vous y amène, travaillez sur vous-même avec la plus grande honnêteté. Cela peu paraître perturbant au départ mais c’est étonnamment constructeur pour vous, pour votre enfant, pour les autres et pour votre avenirVous commencerez aussi mieux à comprendre le comportement du rapteur même s'il vous parait parfois mensongé, diffamatoire ou relevant du domaine médical.
Comprendre n’est peu être pas pardonner mais l’explication vous amènera une certaine paix qui vous renforcera.


lundi 25 février 2008

Hey TITOUAN ! il a aussi Dévi et lucie qui t'attendent.ils te font pleins de gros bisous.






LES DEMARCHES A ENTREPRENDRE

1. Si vous ne connaissez pas l'adresse du rapteur vous ne pourrez rien entreprendre (notamment requérir le juge aux affaires familiales: le JAF).
il vous faut commencer par aller à une préfecture ou sous préfecture et demander un R.I.F.(recherche dans l'intérêt des familles)n'hésitez pas à vous munir de toute pièce concernant la personne recherchée (immatriculation du véhicule N° de sécurité sociale, d'allocataire caf, photos.....)
2. Au besoin utilisez l’article 15-3 du code de procédure pénale et portez plainte auprès de la gendarmerie ou d’un commissariat pour soustraction et non-représentation d’enfant.
(pas de main courante même si l’on vous demande une grosse de jugement ou autre…que vous pouvez ne pas avoir car vous ne pouvez aller devant le JAF et obtenir un premier jugement car vous n’avez pas l’adresse et c’est pour cela que vous avez fait un RIF)
3. Dès que vous le pouvez rapprocher vous d’un avocat et commencez à mettre en place une plainte en écrivant au doyen des juges d’instruction pour vous porter partie civile (le procureur ne tiendra bien souvent pas compte du fait qu’i n’est nullement besoin d’un jugement pour prouver que vous êtes un « ayant-droit » et classera généralement sans suite : « en l’absence de décision du juge aux affaires familiales fixant les modalités de garde de l’enfant et de justificatifs de propriété pour les objets réclamés » m’a-t-il été répondu ! Mon bel objet ! C’est un enfant monsieur le procureur !
4. Relisez les deux arrêts de la chambre criminelle de la cour de cassation du 13 mars 1996 (je les mettrais bientôt en ligne)
5. Relisez l’arrêt de la cour d’appel de PARIS du mai 2000 !
6. vous trouverez également d’autres détails sur le lien « comment pourquoi » de chez acalpa.org dans les liens utiles.

dimanche 24 février 2008

LE CODE PENAL

CODE PÉNAL
Version consolidée au 21 novembre 2007

PARTIE LÉGISLATIVE
LIVRE II : DES CRIMES ET DÉLITS CONTRE LES PERSONNES
TITRE II : DES ATTEINTES AUX PERSONNES HUMAINES
CHAPITRE VII : DES ATTEINTES AUX MINEURS ET À LA FAMILLE


Section 3 : Des atteintes à l'exercice de l'autorité parentale.

Article 227-5
Le fait de refuser indûment de représenter un enfant mineur à la personne qui a le droit de le réclamer est puni d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende.

Article 227-6
Le fait, pour une personne qui transfère son domicile en un autre lieu, alors que ses enfants résident habituellement chez elle, de ne pas notifier son changement de domicile, dans un délai d'un mois à compter de ce changement, à ceux qui peuvent exercer à l'égard des enfants un droit de visite ou d'hébergement en vertu d'un jugement ou d'une convention judiciairement homologuée, est puni de six mois d'emprisonnement et de 7500 euros d'amende.

Article 227-7
Le fait, par tout ascendant, de soustraire un enfant mineur des mains de ceux qui exercent l'autorité parentale ou auxquels il a été confié ou chez qui il a sa résidence habituelle, est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende.

Article 227-8
Le fait, par une personne autre que celles mentionnées à l'article 227-7 de soustraire, sans fraude ni violence, un enfant mineur des mains de ceux qui exercent l'autorité parentale ou auxquels il a été confié ou chez qui il a sa résidence habituelle, est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75000 euros d'amende.

Article 227-9
Les faits définis par les articles 227-5 et 227-7 sont punis de trois ans d'emprisonnement et de [*taux*] 45000 euros d'amende :
Si l'enfant mineur est retenu au-delà de cinq jours sans que ceux qui ont le droit de réclamer qu'il leur soit représenté sachent où il se trouve ;
Si l'enfant mineur est retenu indûment hors du territoire de la République.

Article 227-10
Si la personne coupable des faits définis par les articles 227-5 et 227-7 a été déchue de l'autorité parentale, ces faits sont punis de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende.
Article 227-11
La tentative des infractions prévues aux articles 227-7 et 227-8 est punie des mêmes peines.

mercredi 20 février 2008


CONTACTEZ SON PAPA AU: 06 63 63 34 41

RECHERCHE TITOUAN né le 23 mars 2002

Son papa recherche des nouvelles de TITOUAN enlevé le 30 juin 2007 par sa mère.
Je cherche à obtenir toute information sur son bien-être, sa santé, son mode de vie...Après toutes les démarches judiciaires j'ai fini par savoir qu'il habitait à moins de 4 km de chez moi et j'ai pu le voir 5 minutes le 23 janvier 2008 à 18h50.
mon précédent contact était un appel téléphonique "autorisé" le 26 août 2007 à 18h d'une durée de trois minutes.
Si vous le voyez dites lui que son papa l'aime, qu'il se bat pour lui et qu'il ne l'a pas abandonné.
je n'ai que la solution de laisser régulièrement des messages sur le répondeur d'un téléphone portable auquel personne ne répond.
Jeudi 28 février 2008 je devrais enfin obtenir le rendu du délibéré du JAF.
Les premières vraies visites vont pouvoir commencer à s'organiser. Certainement en point rencontre pour le départ (cela permettra aussi d'amortir la chose en terme de psychologie pour TITOUAN).
le petit plus c'est que les mensonges , les dissimulations et manipulations de la mère commencent à être reconnus par les magistrats et j'espère voir se dessiner rapidement une évolution positive.